28 mai 2012
Après une bonne partie de journée passée à Saint-Martin, nous prenons la route de Loix.
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A Loix, rien n’est pareil qu’ailleurs… tout est mieux qu’ailleurs. Il n’y a qu’ici qu’on sent ce parfum de pêche à pied, de balades à vélo, de souvenirs de vacances.
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Ici, il y a même des bleuets dans les champs de blé… ils sont l’étoile de Jean Cocteau, comme le chantait Gilbert Bécaud.
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Jacques et Frédéric ont prévu d’aller gratouiller dans les cailloux à la Pointe du Grouin. « Ce soir, nous mangeons ce que nous pêchons ». Epuisette, seaux, grattoirs… ils sont bien équipés, on devrait faire un festin !
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Je m’installe sur la digue avec mes deux copains chiens. Nous regardons le paysage, les cheveux au vent. Je suis un peu contrariée parce que je devais rencontrer Marie-Laure, mais à force de prendre des photos, j’ai vidé la batterie de mon téléphone. Impossible de la contacter pour nous mettre d’accord sur un lieu de rendez-vous.
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Je commençais à me dire que le temps allait me sembler long et que je finirai par avoir mal aux fesses assise sur ma digue que j’ai entendu qu’on m’appelait. J’ai eu un doute, puis j’ai vue une jeune femme venir vers moi. C’était bien moi qu’elle appelait. Marie-Laure !
Comme je lui avais dit que nous comptions passer l’après-midi sur Loix, elle m’a cherchée. Et grâce à mes chiens, elle m’a trouvée facilement.
Et bla-bla-bla. Et bla-bla-bla…
Le temps est passé à une vitesse. On fait quelques pas, on a cueilli un bouquet de pompons (de leur vrai nom « lagures ovales » ou queues de lièvres, et pour Patricia « chatons »), on retourne s’asseoir sur la digue où Monsieur Shanghai se laisse papouiller avec délectation
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Marie-Laure va chercher à sa voiture un paquet pour moi. Je suis touchée, mais confuse car je suis venue les mains vides.
Mon plumier rien que pour moi
Marie-Laure l’a réalisé en cartonnage.
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Des petits carrés à broder
Sur le premier carré sont imprimés les noms des communes de l’île.
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Sur le deuxième : Mes vacances à Loix !
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Merci Marie-Laure, mille mercis !
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Frédéric et Jacques remontent avec la marée ; il est temps pour Marie-Laure et moi de nous dire au-revoir.
La pêche des hommes n’est pas mirobolante, mais sympathique : palourdes et bigorneaux accompagnés de pain frais, c’est un super repas.
Il nous a fallu une heure et demie pour sortir de l’île et quand nous sommes arrivés à La Rochelle, toutes les boulangeries étaient fermées. Et des bigorneaux et des palourdes sans pain, c’est simplement pas pensable !
Alors ce soir-là, on a mangé « pizzas » !
Catherine
T’es dans la charrette ?
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Coucou CATHERINE,
Je connais aussi MARIE LAURE qui nous avait fait découvrir l’ILE DE RE, pendant une semaine, il y a 3 ans, c’est une copinaute charmante qui a eu gros problèmes de santé mais un moral d’acier et elle nous a fait aimer son île.
Je l’avais découverte grâce à mon PALC pour cartonner une valisette, car MARIE LAURE aime beaucoup le cartonnage et son plumier est superbe !
Elle m’avait aussi emmenée dans toutes les boutiques de broderie et déco de l’île, nous avions passé vraiment de bons moments !
J’espère revenir un jour sur l’île de ré et la rencontrer à nouveau !
Merci de nous montrer les photos fort belles de ta visite sur l’île de ré !
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Une chouette rencontre et de bien bonnes vacances!
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Un agréable moment de convivialité, de beaux cadeaux; du bonheur à l’état pur.
Dommage pour les bigorneaux et les palourdes, mais ventre affamé se contente de ce qu’on lui donne.
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une bonne partie de jeu de l’oie de bon aloi à LOIX en RE essayes en sol majeur.
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Un moment, j’ai cru que c’était Jacques qui pédalait….
C’est bien que vous ayez pu vous rencontrer avec Marie-Laure… mais bla-bla-bla et bla-bla-bla, ça m’étonne !!!
Joli travail de cartonnage, félicitations à Marie-Laure.
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C’est que nous en avions des choses à nous dire depuis le temps que nous étions derrière nos écran. Merci pour ce reportage. J’espère que l’on se verra la prochaine fois que tu viendras dans L’Ile.J’espère que tu nous montreras les broderies que tu ferras sur les 2 toiles. Bises à toi, Jacques Elvis et Shanghai.
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