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« Rêverie » (Pages 24 et 25 dulivre)

Deux fillettes et deux garçonnets; De gauche à droite : Björn, Agnetha, Anni-Frid (dit Frida) etBenny.

On remet les initiales de ces enfants dans l’ordre, on enfile son pantalon patte d’eph, sa tunique en lamé, un bandeau dans les cheveux, et nous voilà trente cinq ans en arrière.

ABBA est là !

On est en 1974 quand la célébrité leur tombe vraiment dessus avec la victoire au Grand Prix Eurovision de la Chanson. Ce succès s’arrêtera progressivement au début des années 80, quand Benny et Frida ont annoncé leur divorce. Les filles ont alors tenté des carrières solo, mais la magie n’était plus là.

Et 35 ans après, ils sont plus que jamais à la mode (on dit « cultes » maintenant)  par le biais d’une comédie musicale « Mamma Mia » qui tourne dans le monde depuis 1999, et qui arrivera en France à l’automne 2010.

« La promenade » (page 47 du livre)

Ray Charles (né en 1930), petit enfant pauvre elevé à Greenville en Floride, devient aveugle à l’âge de 7 ans après avoir contracté un glaucome. Sa mère qui l’élevait seule a toujours tout fait pour lui apprendre l’autonomie, quitte à paraître dure.

Il se révélera « Génius » dans la musique, dont il pratiquait plusieurs instruments, comme le piano, la clarinette et le saxo.

A 16 ans, il s’installe à Seattle et commence à se produire dans des clubs, où il rencontrera son ami Quincy Jones.

Sa vie ne fut très tourmentée (drogue, amours). Père de 12 enfants, il meurt à l’âge de 73 ans, après nous avoir laissé des centaines de titres gospell, blues et country.

Voir le film Ray.

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Vincent, 21 ans,  est le troisième fils de ma soeur. Enfant têtu, rebelle et solitaire, il est devenu un jeune homme charmant, très attentionné avec sa tante.

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« Gardien de but » (page 29 du livre)

J.R., John-Ross : A lui tout seul, il symbolise la saga Dallas diffusée à la télévision française au début des années 80.

A l’époque, il y avait :

  • ceux qui détestaient Dallas, son univers impitoya-a-ble, et le clamaient bien fort,
  • ceux qui adoraient Dallas, son univers impitoya-a-ble, et osaient le dire,
  • ceux qui détestaient Dallas, son univers  impitoya-a-ble, et n’en parlaient pas,
  • ceux qui adoraient Dallas, son univers  impitoya-a-ble, et le cachaient !

Je faisais partie de la 4e catégorie. J’ai vu quasiment tous les épisodes, et à l’époque, c’était un exploit. Nous n’avions pas de magnétoscope, alors pour voir Dallas, il fallait attendre la fin du programme de variétés, la fin de Droit de Réponse (ça c’était bien), et quand j’avais vraiment envie d’aller au lit, Dallas commençait.


La série a fait l’objet de diverses rediffusions, et 2010 nous promet une suite à travers le personnage de John-Ross Jr, le fils de J.R. et Sue-Ellen. La magie fonctionnera-t-elle encore, ou ai-je vraiment vieilli ?

Mise à jour du 24 octobre 2012 :

Larry Hagman, l’interprète de J.R. Ewing dans Dallas, est mort

  

Créé le 24-11-2012 à 12h20 – Mis à jour à 13h10
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LOS ANGELES (Sipa-AP) — Le comédien américain Larry Hagman, incarnation dans la série Dallas de l’un des plus célèbres méchants de l’histoire de la télévision, J.R. Ewing, est mort vendredi après-midi à l’âge de 81 ans de complications d’un cancer, a annoncé sa famille dans un communiqué.
Linda Gray, qui jouait le rôle de sa femme, Sue Ellen, dans la série américaine diffusée d’avril 1978 à mai 1991, se trouvait aux côtés de l’acteur au moment de son décès dans un hôpital de Dallas, a précisé Jeffrey Lane, l’agent de l’actrice. « Il faisait le bonheur de tous ceux qu’il connaissait. Il était créatif, généreux, drôle, attachant et talentueux. Il va terriblement nous manquer. Il croquait la vie à pleines dents », a déclaré l’actrice.
En 1992, une cirrhose du foie avait été diagnostiquée chez l’acteur emblématique, après des années d’une consommation abusive d’alcool. En 1995, une tumeur maligne avait été découverte au foie et il avait dû subir une greffe. A la suite de cette transplantation, il était devenu un fervent défenseur du don d’organe et s’était engagé comme bénévole auprès des malades d’un hôpital.
« J’assiste, j’encourage et je rencontre (les patients) lorsqu’ils arrivent (à l’hôpital) pour y subir une intervention chirurgicale, et après l’opération », avait-il précisé en 1996. « J’essaie de les réconforter, en leur disant: ‘n’ayez pas peur, c’est un moment désagréable mais bref, tout va bien se passer' ». Il avait également participé à des campagnes contre le tabagisme.
Natif de Fort Worth (Texas), Larry Hagman avait retrouvé en 2012 son costume de J.R. Ewing dans la nouvelle version de la série, produite par la Warner. Les dix épisodes diffusés cet été sur la chaîne TNT et avaient fait un tabac.
Le rôle de J. R. Ewing, un magnat du pétrole sans scrupules, avait changé sa carrière, faisant de lui un des comédiens les plus populaires aux Etats-Unis et dans le monde. A l’automne 1980, l’épisode de la sitcom intitulé « Qui a tué J.R. ? » avait été le plus regardé de l’époque, avec 41 millions de télespectateurs.
En 2006, Larry Hagman avait fait une apparition en tant que guest star dans la série Nip/Tuck, interprétant un magnat machiste.
Larry Hagman était également connu depuis les années 60 pour son rôle du commandant Anthony Nelson dans la comédie Jinny de mes rêves (I Dream of Jeannie), dans laquelle il jouait un astronaute qui découvrait un génie (interprété par Barbara Eden) dans une bouteille.
cc/AP-v0/mw – Source : Nouvelobs.com

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« La promenade » (page 47 du livre – suite)

Le petit chien tenu en laisse par Vincent est …

Le voilà tel qu’on le retrouve chaque soir, pendant que je brode : couché sur mes pieds, la tête posée sur la traverse de la table du salon, il dort… comme un loir !

« Les spectateurs » (pages 56 et 57 du livre)

Encore des chanteurs ?

Quatre garçons dans le vent qui ont révolutionné la musique pop au début des années 60 (1960), fait chavirer le coeur de millions de filles et même mis en émoi mon grand-père qui avait acheté le 45 Tours « Eleanor Rigby ».

Ce grand-père qui faisait ses courses au Prisunic de Creil, qui buvait son thé tous les après-midis avec des biscottes sans sel couvertes de margarine Forza, qui n’écrivait qu’avec des stylos à plume Parker,  qui lisait Shakespeare dans le texte et « La Chine en Construction » (faisant ainsi le grand écart entre la monarchie britannique et le maoïsme)…  était tombé sous le charme des Fab Four : The Beatles.

De gauche à droite : Ringo, George, John et Paul le gaucher.

John nous prend à témoin : il a bien remarqué la petite asiatique qui se trémousse face à lui, de l’autre côté du terrain !

De gauche à droite ETde haut en bas : Paul Mac Cartney, Ringo Starr, George Harrison, John Lennon

Que dire d’eux ? Ils ont accompagné toute ma vie, décriés comme tous les « phénomènes ». Certains les comparaient à des « chats écorchés » quand d’autres leur prêtaient le talent de jeunes Mozart. Les adultes les trouvaient excités et mal coiffés. Ils étaient pourtant bien proprets avec leurs costumes et leurs cols mao. Deux nous ont quittés : John assassiné à l’âge de 40 ans, George (le plus jeune des quatre) d’un cancer généralisé à 58 ans.

La chanson est dans le quotidien de chacun; c’est sa fonction, sa force. Sociale, satirique, révolutionnaire, anarchiste, gaie, nostalgique… Elle ramène chacun de nous à son histoire.

Barbara

Le 13 avril 2010,

j’ai lavé ma toile à la machine à laver…

et je ne l’ai pas encore reprise en ce 21 septembre 2010 !

Un petit mot ? Merci !