Dès la tombée de la nuit (et bien avant pour les petites sorcières et les petits monstres en herbe) nous aurons droit à des cavalcades dans la montée d’escaliers,  des hurlements et des cris terrorisants couverts par les aboiements des chiens, des coups dans la porte, des rires suivis d’une distribution de bonbons.

Quelque part dans Grenoble une mini-sorcière ira, accompagnée de sa maman-sorcière, sonner chez ses voisins pour réclamer des bonbons. Elle ne comprend pas ce qu’est Halloween,  mais elle sait très bien ce que bonbon veut dire, tout comme elle sait très bien les demander. Et ce n’est pas Papy et Mamie qui lui ont appris !

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Même si Halloween ne fait pas partie des traditions de notre pays, même si on peut y voir un aspect trop commercial,  je trouve qu’il est toujours sympathique de faire la fête.  Quand je travaillais,  nous avions adopté Halloween et la Saint-Valentin qui étaient l’occasion de nous retrouver autour d’un casse-croûte au même titre que Noël ou l’arrivée du Beaujolais Nouveau.

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Dimanche nous sommes allés nous promener. Il faisait gris, froid et venteux, mais les derniers feuillages flamboyants faisaient oublier la grisaille de ce temps de Toussaint.

Gières, Vaulnaveys, Uriage…

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Nous avons été surpris par le décalage horaire. En sortant de chez Cyrille et Delphine il faisait déjà bien sombre. Vivement l’heure d’été !

Visible de la route, le château d’Uriage ne se visite pas.

Une vague de nuages déferle sur la Chartreuse

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Allez, à bientôt…

et Happy Halloween à tous !

Catherine