A Stéphane L.

en souvenir de tous les bons moments professionnels et privés que nous avons partagés pendant plusieurs années.

Tu me manqueras.

Quand nous nous sommes levés dimanche matin, chez nous c’était

ça :

Coté salon – le Vercors

 

 

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Coté cuisine – la Chaîne de Belledonne

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Pour autant, pas plus velléitaire que ça, et surtout désireuse d’avancer ma broderie ou démarrer un petit ouvrage au crochet, je n’avais pas envisagé de sortir.

Nous avons regardé les informations, et quand j’ai vu que les reportages de tout début d’après-midi allaient encore refaire l’historique des dix jours qui venaient de nous traumatiser je me suis dit : « Il est grand temps d’aller essayer enfin mes bâtons de marche ! »

Nous avons pris la direction de la Savoie, car si nous restons au pied du Vercors, le soleil se cache trop tôt.

Nous ne sommes pas allés bien loin :

 le marais de Montfort à Crolles

C’est un des endroits où Jacques aime aller pêcher à la bonne saison.

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La vue est superbe. Belledonne et les falaises de la Chartreuse nous éblouissent.

 

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Dommage ! Nous ne ferons pas le chemin des papillons… les chiens font partie de la promenade.

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Je dédie toutes les photos qui vont suivre à mon amie Paulette qui a été celle qui m’a persuadée que les bâtons de marche nordique seraient bien pour moi qui ai les chevilles et les genoux fragiles. Sans eux, je n’aurais pas pu parcourir tout ce chemin.

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Toutes les flaques étaient gelées, mais quand on a soif, on a soif. N’est-ce pas Elvis ?

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Un regard à droite, un regard à gauche… tout est fabuleusement spectaculaire.

 

Merci à ces jolies cavalières d’avoir pris le temps de poser pour moi !

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Petite halte à la ferme

En passant, j’avais remarqué une grande ferme. Je m’étais promis d’aller voir les vaches au retour. C’est toujours photogénique les vaches !

Non, ça c’est un bouc !

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Et il est rudement énervé de ne pas pouvoir approcher les chèvres.

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Voilà les vaches. C’était l’heure du casse-croûte, ce qui les occupait bien.

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Pour  bien réussir une photo de vache, il faut faire amie-amie avec elle et lui dire des mots gentils.

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Pendant que les vaches se la coulaient douce dans leur étable, un taureau pataugeait dans la boue jusqu’aux genoux. Nous sommes bien dans un marais.

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Le soleil descendant,  il commençait à faire froid. Il était déjà temps de prendre le chemin de la maison.

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Belledonne, encore et encore

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Mais avant de rentrer, un moment très agréable : nous sommes passés souhaiter une bonne année à mon frère et ma belle-soeur. Si nous étions arrivés plus tôt, nous les aurions ratés car eux aussi avaient profité du beau temps pour aller se promener.

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De chez eux, la vue sur la Dent de Crolles et Belledonne est imprenable.

Aujourd’hui, le temps, c’était

ça :

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Vraiment, on a bien fait de sortir dimanche !

A bientôt !

Catherine